Les mémoriaux des Chiens
En mémoire de Nos amis les chiens
Fidèle et chaleureux, le chien n'a pas usurpé son surnom de « meilleur ami de l'homme », et son souvenir reste vivant en nous longtemps après qu'il nous ait quittés.
Animorial dédie cette page à tous les chiens qui nous ont accompagnés et ont partagés quelques-uns des plus beaux moments de nos vies.
Pour qu'ils demeurent toujours à nos côtés
Les derniers Hommages
- À Daisy
Mes petites boules d'Amour ❤❤
Un souvenir éternel... jusqu'à ce que nous nous revoyions ❤️ Ces souvenirs spéciaux de vous apporteront toujours un sourire si seulement je pouvais vous récupérer juste pour un petit moment Ensuite, nous pourrions nous asseoir côte à côte à nouveau tout comme nous le faisions . Le fait que vous n'etes plus là me fera toujours souffrir mais vous êtes pour toujours dans mon cœur jusqu'à ce que nous nous revoyions
le 18 Avr. 2024 - À LAIKA appelée Grosse doudoune
c el bacha
Ce matin il est arrivé une chose bien étrange Le monde s'est dédoublé J'ai senti le temps se fondre un instant sur les visages mêmes Le monde s'est dédoublé Vos corps que je percevais hier encore Dans leur exactitude Ont perdu leur densité Regarde derrière les nuages il y a toujours le ciel bleu azur qui, lui Vient toujours en ami Te rappeler tout bas que la joie est toujours à deux pas Il m'a dit: prends patience, mon ami, prends patience Vers un nouveau rivage ton cœur est emporté Et l'ancien territoire t'éclaire de ses phares Regarde en-dessous de la nuit Il y a toujours le jour qui pose ses lumières Sur un coin de la Terre Te rappelant tout bas que la joie est toujours à deux pas Je te dis: prends patience, mon ami, prends patience Vers un nouveau rivage, ton cœur est emporté Et l'ancien territoire t'éclaire de ses phares Regarde derrière les nuages il y a toujours le ciel bleu azur qui, lui Vient toujours en ami Te rappeler tout bas que la joie est toujours à deux pas Il m'a dit: prends patience, mon ami, prends patience Vers un nouveau rivage ton cœur est emporté Et l'ancien territoire t'éclaire de ses phares
le 18 Avr. 2024 - À SALLY appelée CHALY CHALY
a de musset
J'ai dit à mon cœur, à mon faible cœur : N'est-ce point assez de tant de tristesse ? Et ne vois-tu pas que changer sans cesse, C'est à chaque pas trouver la douleur ? Il m'a répondu : Ce n'est point assez, Ce n'est point assez de tant de tristesse ; Et ne vois-tu pas que changer sans cesse Nous rend doux et chers les chagrins passés ?
le 18 Avr. 2024 - À WOLF dit MONSIEUR WOLF
g becaud
Qu'elle est lourde à porter l'absence de l'ami L'ami qui tous les soirs venait à cette table Et qui ne viendra plus, la mort est misérable Qui poignarde le cœur et qui te déconstruit Il avait dit un jour "lorsque je m'en irai Vers les lointains pays, au-delà de la terre Vous ne pleurerez pas, vous lèverez vos verres Et vous boirez pour moi à mon éternité" Dans le creux de mes nuits, bien sûr, je voudrais bien Boire à son souvenir pour lui rester fidèle Mais j'ai trop de chagrin et sa voix qui m'appelle Se plante comme un clou dans le creux de ma main Alors je reste là, au bord de mon passé Silencieux et vaincu, pendant que sa voix passe Et j'écoute la vie s'installer à sa place Sa place qui pourtant demeure abandonnée La vie de chaque jour aux minuscules joies Veut remplir à tout prix le vide de l'absence Mais elle ne pourra pas, avec ses manigances Me prendre mon ami pour la seconde fois Elle est lourde à porter, l'absence de l'ami Elle est lourde, l'absence de l'ami
le 18 Avr. 2024